Fragments d’œuvres à jamais inachevées? Réflexions frustes qui ne connaîtront pas un approfondissement conceptuel accompli? Addenda et corrigenda refoulés lors d’un curriculum universitaire qui se constitua dans l’occupation exclusivement tournée vers un unique “objet d’études”? Tentative du logos “androgyne”, invisible et polysémique, pour reprendre place dans notre communication? Afin que la justification selon laquelle “quant à ce qui est passif, un autre lieu nous en est réservé” devienne superflue? Les passions du philosophe seront alors l’antidote contre la “pathologie industrielle” qui fait de nous estropiés et nous interdit de réaliser “tout ce que les autres effectuent”. Ou même, “l’apologie d’un amateur”.